Si vous avez des proches qui souffrent de la sclérose en plaques, ou si vous-même êtes atteint de cette maladie, vous avez sans doute déjà cherché à savoir si elle était héréditaire, si vous étiez plus à risque de développer la maladie que la population générale.
La réponse n’est pas toujours évidente, car les causes de la sclérose en plaques ne sont pas encore complètement connues. Dans cet article, nous allons passer en revue les différentes théories sur l’hérédité de la SEP et les dernières avancées de la recherche.
Dans cet article
Comprendre la sclérose en plaques
La sclérose en plaques (SEP) est une maladie auto-immune qui attaque le système nerveux. Le mécanisme immunitaire attaque la myéline couvrant les nerfs dans le système nerveux central.
Ces lésions qui apparaissent dans tout le cerveau conduisent à la sclérose en plaques. Ils contiennent une inflammation, une démyélinisation et parfois une dégénérescence axonale.
Une évolution variable
La sclérose en plaques est une maladie incroyablement hétérogène entre les personnes dans les expressions et les modes d’évolution – les symptômes sont exprimés. En général, cela est très facile à déterminer, en fonction de l’argumentation et en particulier des signes cliniques, par exemple les observations de lésions peu nombreuses.
La détection d’inflammation par le liquide céphalo-rachidien peut confirmer leur présence chez la personne. Les symptômes varient d’une personne à l’autre, mais peuvent changer tout au long de la vie de la personne. Les lésions sont déterminées à partir de la zone dans laquelle le cerveau a été affecté.
Des traitements qui modulent le système immunitaire
Le traitement actuel n’est pas efficace contre l’état, mais empêche l’apparition récurrente. Le développement de ces médicaments représente une étape importante dans l’amélioration de la vie des personnes.
Dans les formes progressives de maladie, leur efficacité n’est pas définitivement prouvée et semble dans la plupart des cas extrêmement partielle. Une forte dose de corticostéroïdes est recommandée pour réduire la gravité de la douleur.
Mais il n’y a pas de traitement substantiel ici. Ces deux objectifs visent à promouvoir un système immunitaire spécialisé.
Pas d’imputabilité pour les vaccins contre l’hépatite B et le papillomavirus.
Un personne qui a reçu une vaccination contre le VHS aurait déposé une plainte. L’Inserm mène actuellement un certain nombre d’études dans le but d’évaluer leur efficacité aux fins de vaccination.
L’assurance à cet égard a amené les organismes de santé à confirmer l’absence de responsabilité quant à l’utilisation de vaccins contre la sclérose en plaques. Environ 5,4 millions de doses de vaccin ont été distribuées depuis 2012 et 503 événements indésirables mortels et graves ont eu lieu, dont 17 sclérose en plaques.
Les facteurs environnementaux
La sclérose en plaques peut être causée par des facteurs environnementaux et des conditions génétiques. Facteurs de température Parmi d’autres facteurs, l’effet du soleil sur les niveaux de vitamine D est le plus connu.
Il peut également aider à propager la maladie dans le monde entier. Le gradient de latitude nord-sud n’est pas uniforme, la maladie se trouve sur l’équateur dans les régions du Nord et du Sud.
Cela signifie qu’il y a des domaines qui apportent une excellente valeur.
La susceptibilité génétique
La sclérose en plaques est un trait génétique acquis résultant de l’association de diverses variantes génétiques. Ces dernières années, deux chercheurs internationaux ont confirmé les liens génétiques de la sclérose qui ont été largement connus. Localités pour les systèmes HA.
Ces recherches ont permis de découvrir environ 200 variantes génétiques associées à un type particulier de cancer. Plusieurs gènes se trouvent dans l’immunité.
Une maladie auto-immune du jeune adulte
La SEP est la principale cause de handicaps non traumatiques aigus chez les enfants et les adolescents. Les symptômes commencent généralement à l’âge de 30 ans.
La maladie touche un plus grand nombre de femmes et la proportion de femmes entre les sexes à la fréquence la plus élevée est de 1 sur 3. Environ 50 000 d’adultes français sont touchés et 5 000 nouveaux cas par an sont attendus.
L’adolescence, période charnière ?
Plusieurs études sur la population migrante ont laissé entendre que la transition vers l’adolescence est essentielle au processus de développement. Les personnes dont la migration a lieu à l’âge de 15 ans conservent le risque de leur région d’origine comme si leur région avait été enregistrée.
De même, ceux qui viennent des États-Unis avant l’âge de 14 ans ont un risque plus élevé de leur région d’arrivée.
Des facteurs de risque encore mal connus
La sclérose en plaques n’a pas d’héritage. Il a des facteurs génétiques qui facilitent son développement et influencent de nombreux facteurs, y compris les facteurs environnementaux.
Ainsi, la sclérose en plaques est plus probable lorsqu’une personne affectée a la sclérose en plaques comme une complication.
Un déterminisme génétique complexe
En 1973, l’identification d’une région dans un gène appelé locus HLA du chromosome à base de complexe d’histocompatibilité a été associée à un risque élevé de maladies, conduisant à la découverte de gènes susceptibles de contracter une maladie génétique héréditaire. Ce gène sur le locus des léucocytes homologues joue un rôle actif dans la reconnaissance des « soi-même » cellulaires par le système immunitaire.
On estime que la sclérose en plaques a une composante génétique d’environ 30 à 40 % de son génome, ce qui explique en partie l’existence de cas de sclérose en plaques associés à la famille. La plupart des personnes atteintes de sclérose en plaques souffrent d’une maladie sous-jacente.
Le risque statistique de survenue de la SEP
L’étude des scientifiques a montré que la possibilité que la maladie soit héritée de différents liens de parenté diffère. 2 % des parents touchés ont une sclérose en plaques et 80 % d’entre eux ne le font pas. Généralement, le risque de la maladie est de 20 % pour les deux parents.
Ces chiffres peuvent sembler significatifs. Bien que 20 % soient disproportionnés par rapport à la population, 20 % ne représentent même pas un enfant.
Mieux connaître la susceptibilité génétique peut-il aider à prédire la survenue de la maladie ?
Dans chacun de ces gènes nouvellement identifiés, il y a plus de polymorphismes communs chez une personne atteinte de sclérose en plaques. Cependant, ces données ne prédisent pas le risque individuel de la maladie et l’information est assez claire.
La sclérose en plaques est un trouble relativement rare. Cependant, le trouble est associé à des variantes génétiques relativement fréquentes chez les populations françaises.
Quelles sont les causes de la sclérose en plaques ?
Les origines de la sclérose en plaques ont été longtemps obscurcies. Récemment, des travaux savants ont levé le voile, révélant les mécanismes de cette condition.
Qui est à risque pour la sclérose en plaques ?
Diverses observations ont été faites au sujet de divers facteurs associés à la SEP aux États-Unis.
Les facteurs ethniques et génétiques de la sclérose en plaques
La sclérose en plaques est plus souvent présente chez les personnes d’ascendance caucasienne. Plusieurs facteurs sous-jacents à la sclérose en plaques sont actuellement connus, à savoir la génétique et l’âge.
Une étude française a révélé que le risque de sclérose en plaques pour les personnes ayant des frères et sœurs hérités en France est de 50 % (bien que le risque soit de 1 sur 800 dans la population générale).
Cependant, la sclérose en plaques n’est pas une maladie héréditaire. Pour les enfants avec un parent il y a peu de risque de développer la sclérose en plaques.
Des facteurs géographiques favorisant la sclérose en plaques
La sclérose en plaques est plus fréquente dans les pays éloigné de l’Équateur. Apparemment, l’exposition au soleil (vitamine D) peut aider à réduire les risques de sclérose en plaques.
Cependant, dans une région géographique où les latitudes sont à peu près similaires et où les climats varient, la fréquence de la SEP peut varier considérablement.
Une inégalité de répartition hommes-femmes pour la sclérose en plaques
La sclérose en plaques 2 à 3 fois plus de femmes que d’hommes, suggérant que la génétique chromosomique sexuelle peut jouer un rôle direct.
La sclérose en plaques touche plutôt chez de jeunes adultes
Le diagnostic le plus fréquent est chez les personnes âgés de 20 à 60 ans, mais pas chez les personnes âgées ou les enfants.
L’hypothèse d’un risque accru lié à un agent infectieux
De récentes études ont démontrées que le virus Epstein-Barr (EBV) est associé à la sclérose en plaques. Le EBV, virus de la mononucléose infectieuse, a été trouvée dans les cellules nerveuses endommagées de personnes atteintes de SEP, mais pas dans les cellules nerveuses des personnes en bonne santé.
Les enjeux de la recherche
À l’avenir, des méthodes immunothérapeutiques peuvent également être utilisées pour traiter des maladies ayant diverses répercussions. Les nouveaux produits incluent les inhibiteurs de la tyrosine kinases -Briton, qui empêchent le développement des lymphocytes B, mais aussi bloquent l’activité des cellules de la réponse immunitaire innée (macrophages, microglia), récemment identifiés comme acteurs clés
Régénérer la myéline
Des approches de la rémyélinisation et des traitements de protection du cerveau continuent d’apparaître. L’étude était fondée sur des données probantes indiquant une association entre la gravité des handicaps ainsi que la pente de la progression de ces handicaps et les dommages aux neurones et aux axons.
Inversement, la myéline est régénérée pour prévenir la dégénérescence neurologique et le handicap.
Ces stratégies suivent une longue période dans le domaine de la recherche préclinique qui complète l’immunothérapie et les thérapies auto-immunes par des tests thérapeutiques lancés entre deux et deux-trois ans dans des essais contrôlés randomisés. La rémyéline est induite dans le corps de façon endogène ou exogène.
La remyélinisation, un phénomène parfois spontanée
Diverses années d’étude montrent que la myélinisation spontanée peut être observée chez certaines personnes. Actuellement, les images médicales permettent de déterminer le degré de rémyélinisation et ses variantes régionales chez les personnes.
En conclusion
La sclérose en plaques n’est pas une maladie héréditaire. Cette maladie doit être prise en charge par un neurologue. Le traitement de la sclérose en plaques varie selon la forme mais il est important de suivre un traitement.
La recherche avance et de nouvelles thérapies apparaissent.